Allez, on est en vacances, il ne fait pas beau mais ils nous ont faut plus pour qu'on reste enfermé. On va en montagne? Okayyyy !! Donc nous voici à la hourquette d'Ancizan. On va essayer d'aller jusqu'au pic de Monfaucon.
9h30:On démarre dans le brouillard. Pas grave, on commence à être habitué.😉 La météo devrait être "correcte" jusqu'à 15h.
Pas trop de visibilité pour le moment....
On va croiser, des vaches...Des chevaux...
Après avoir marché d'un bon pas, on se retrouve très vite au pied de la petite montée menant au lac d'Arou.
Le déversoir du lac...
10h20:
Pour le moment, on a droit à quelques trouées, ce qui nous permet de voir un peu le paysage, même si on connait bien les lieux.
Après avoir marché d'un bon pas, on se retrouve très vite au pied de la petite montée menant au lac d'Arou.
Le déversoir du lac...
10h20:
Lac d'Arou (1786m)
On prend aussitôt une sente qui monte au dessus du lac.
Au dessus de nous, ça a l'air bien bouché mais comme on est optimiste, on continue !
Le lac d'Arou vu de plus haut.
Heureusement le sentier est bien marqué. Pas de risque de se perdre.
On rentre dans le vallon qui se trouve au dessus du lac d'Arou.
On ne voit pas grand chose mais il fait bon. Très sympa de se balader.
On va croiser quelques moutons tout étonnés de nous voir.😁
Le sentier continue de s'élever au milieu des Rhododendrons. C'est bien, ça amène un peu de couleur.
La fin des crêtes de las Lourides émergent du brouillard.
On rentre dans le cirque au pied du pic de Monfaucon. Quelques névés sont encore là mais aucun sur notre chemin.
On est dans un univers complètement minéral maintenant.
Le Sarrat de las Lourides derrière nous.
La pente se redresse encore, pas facile de monter dans la caillasse.
Ca patine un peu par moment. Il faut qu'on rejoigne le petit col qui est juste au dessus de ma tête.
Oui, c'est raide !
Il y a deux options pour atteindre un petit col. Je décide de longer la paroi à droite où il semble y avoir plus d'appuis sûrs.
Katia préfère rester dans la caillasse.
Je vais réussir à rejoindre la crête. Mais finalement, le long de la paroi, c'est de la roche friable. Les pierres ont tendance à se décrocher, c'est pas terrible. Et pour couronner le tout une fois sur la crête, je ne vais rien trouver de mieux que de me casser la binette. Rien de méchant à part une douleur au pied droit.
L'autre versant de la crête.
Après le col, la montée n'est pas terminée. Il nous reste cette crête à monter avant d'atteindre le sommet.
Les nuages butent sur la crête. Ca fait de belles images.
Ici encore, le sol est instable. Les appuis sont fuyants.
Alors qu'on approche du sommet, derrière nous, la météo ne s'arrange pas.
12h30:
On prend aussitôt une sente qui monte au dessus du lac.
Au dessus de nous, ça a l'air bien bouché mais comme on est optimiste, on continue !
Le lac d'Arou vu de plus haut.
Heureusement le sentier est bien marqué. Pas de risque de se perdre.
On rentre dans le vallon qui se trouve au dessus du lac d'Arou.
On ne voit pas grand chose mais il fait bon. Très sympa de se balader.
On va croiser quelques moutons tout étonnés de nous voir.😁
Le sentier continue de s'élever au milieu des Rhododendrons. C'est bien, ça amène un peu de couleur.
La fin des crêtes de las Lourides émergent du brouillard.
On rentre dans le cirque au pied du pic de Monfaucon. Quelques névés sont encore là mais aucun sur notre chemin.
On est dans un univers complètement minéral maintenant.
Le Sarrat de las Lourides derrière nous.
La pente se redresse encore, pas facile de monter dans la caillasse.
Ca patine un peu par moment. Il faut qu'on rejoigne le petit col qui est juste au dessus de ma tête.
Oui, c'est raide !
Il y a deux options pour atteindre un petit col. Je décide de longer la paroi à droite où il semble y avoir plus d'appuis sûrs.
Katia préfère rester dans la caillasse.
Je vais réussir à rejoindre la crête. Mais finalement, le long de la paroi, c'est de la roche friable. Les pierres ont tendance à se décrocher, c'est pas terrible. Et pour couronner le tout une fois sur la crête, je ne vais rien trouver de mieux que de me casser la binette. Rien de méchant à part une douleur au pied droit.
L'autre versant de la crête.
Après le col, la montée n'est pas terminée. Il nous reste cette crête à monter avant d'atteindre le sommet.
Les nuages butent sur la crête. Ca fait de belles images.
Ici encore, le sol est instable. Les appuis sont fuyants.
Alors qu'on approche du sommet, derrière nous, la météo ne s'arrange pas.
12h30:
On met les pieds sur la crête sommitale.
Pic de Monfaucon (2712m).
Photo souvenir avec même un peu de ciel bleu. Ca ne va pas durer..😭
Juste le temps de photographier quelques sommets émergeant de ci de là. Même l'Arbizon, pourtant tout proche du Monfaucon ne sera pas visible.
On ne va pas s'éterniser au sommet. Juste le temps de manger notre sandwich. Des orages sont annoncés vers 15h. On n'a pas envie qu'un orage se déclenche alors qu'on est au sommet.
Pic de Monfaucon (2712m).
Photo souvenir avec même un peu de ciel bleu. Ca ne va pas durer..😭
Juste le temps de photographier quelques sommets émergeant de ci de là. Même l'Arbizon, pourtant tout proche du Monfaucon ne sera pas visible.
On ne va pas s'éterniser au sommet. Juste le temps de manger notre sandwich. Des orages sont annoncés vers 15h. On n'a pas envie qu'un orage se déclenche alors qu'on est au sommet.
13h:
On repart.
On va descendre la première partie avec prudence. Les petits cailloux roulent sous les pieds.
On arrive au petit col. On va basculer à droite, coté envahi par les nuages.
Pour la descente, je ne vais pas repasser le long de la paroi. On va descendre tout droit.
Le sol est mou, on s'enfonce dans un mélange de pierres et de gravier. C'est très sympa à descendre par là. Ca fait comme si on descendait dans la neige.
Sauf qu'arrivé plus bas, ce n'est pas de la neige qu'on a dans les chaussures mais une belle quantité de petits cailloux. 😂
C'est avec les chaussures plus légères qu'on reprend notre descente.
On sort de l'univers minéral.
La descente a été difficile pour moi à cause de ma douleur au pied. Maintenant que nous sommes sur un sentier, je marche plus à l'aise.
On retrouve un peu de couleur.
Quelques névés encore assez bas trainent à fondre. Il faut dire qu'avec cette météo, ils ne risquent pas grand chose.
Alors que nous descendons sur un bon rythme, on va apercevoir le maitre des lieux.
Un isard ! Il nous regarde passer d'en haut.
On plonge vers le lac d'Arou.
Le brouillard est plus dense. Plus d'espoir d'éclaircie.
On descend droit vers le lac.
Autour du lac, quelques vaches, des corbeaux et 3 randonneurs.
On se dirige vers le déversoir pour reprendre le sentier balisé ramenant à la hourquette d'Ancizan.
On longe le ruisseau d'Artigou...
On va passer au milieu de quelques troupeaux.
Le brouillard est tellement épais, qu'on avance au coupe coupe.😉
Quelques gouttes commencent à tomber. On a bien fait de ne pas s'attarder au sommet.
La route de la hourquette d'Ancizan.
15h40:
On va descendre la première partie avec prudence. Les petits cailloux roulent sous les pieds.
On arrive au petit col. On va basculer à droite, coté envahi par les nuages.
Pour la descente, je ne vais pas repasser le long de la paroi. On va descendre tout droit.
Le sol est mou, on s'enfonce dans un mélange de pierres et de gravier. C'est très sympa à descendre par là. Ca fait comme si on descendait dans la neige.
Sauf qu'arrivé plus bas, ce n'est pas de la neige qu'on a dans les chaussures mais une belle quantité de petits cailloux. 😂
C'est avec les chaussures plus légères qu'on reprend notre descente.
On sort de l'univers minéral.
La descente a été difficile pour moi à cause de ma douleur au pied. Maintenant que nous sommes sur un sentier, je marche plus à l'aise.
On retrouve un peu de couleur.
Quelques névés encore assez bas trainent à fondre. Il faut dire qu'avec cette météo, ils ne risquent pas grand chose.
Alors que nous descendons sur un bon rythme, on va apercevoir le maitre des lieux.
Un isard ! Il nous regarde passer d'en haut.
On plonge vers le lac d'Arou.
Le brouillard est plus dense. Plus d'espoir d'éclaircie.
On descend droit vers le lac.
Autour du lac, quelques vaches, des corbeaux et 3 randonneurs.
On se dirige vers le déversoir pour reprendre le sentier balisé ramenant à la hourquette d'Ancizan.
On longe le ruisseau d'Artigou...
On va passer au milieu de quelques troupeaux.
Le brouillard est tellement épais, qu'on avance au coupe coupe.😉
Quelques gouttes commencent à tomber. On a bien fait de ne pas s'attarder au sommet.
La route de la hourquette d'Ancizan.
15h40:
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